31 mai 2006
Quand j'ai commencé le blog, j'ai tenu à mettre une photo de chaque membre de ma famille, témoin de mon environnement, de mes racines même, du socle qui fait que je suis droite dans mes bottes, quoiqu'il arrive... Et bien j'ai eu des doléances....En effet, cette photo n'a pas plu: Elle a été publié il y a plusieurs mois, et Maman m'en parle encore (et oui, maman ,je suis désolée de la remettre pour les pauvres qui ne l'avaien pas vu...) En effet, "on peut croire que ton père est vraiment comme ça"-la vérité en est-elle si éloignée?! -(Je tiens aussi à signaler que par contre, maman m'a remercié pour sa photo que j'ai publié pour la fête des mères, elle était toute contente...taow. )(cf plus bas)Soit, je veux bien faire un effort, une sorte de dérogation, je remets une photo plus soft de Papa, juste après que je lui coupe les cheveux, et Julien et Stef de hurler d'horreur...je les crois un peu excessif, mais bon:
J'éspère mettre tout le monde d'accord avec cette image regroupant le couple avec un Papa tel que tout le monde le connait: il dort.
30 mai 2006
on teuf', ziva!
29 mai 2006
api beurzdè
28 mai 2006
25 mai 2006
chatillon est dans la place
Donc hier mercredi soir, nous avons offert à 13000 spectateurs en délire une de nos plus belle représentation, juste après celle de Luc-en-Diois, pour les initiés.
On avait bossé comme des bêtes, on a tout donné. Ici, en pleine répétition.
La salle qui nous accueillait (rappelez-vous, j'avais parlé d'un plan foireux.)
les loges...
Christel et Thierry.
C'était donc une représentation dans des conditions pas forcément évidentes, puisque dans la rue, donc chez des gens qui sortent leur poubelles pendant qu'on joue, ou qui discutent le bout de gras sur le seuil de leur commerce, qui regardent la nouvelle star de leur rez-de-chaussée, mais bon. Des petites erreurs de texte de mon général pas trois étoiles ont failli me faire mourir mais, comme dirait la déchue Cindy, i'm a survivor.
Les gens étaient contents, et puis au final, nous aussi, surtout qu'on a pu revoir Francis les dents pourries ou même encore Kader qui est toujours aussi...autant...razo parralal. C'était bien. Al'heure où j'écris, je crois qu'ils sont en train de chanter les chansons du spectacle en costume et à la guitare dans les rues du village. Et oui, c'est pas tous les jours fête.
23 mai 2006
Ca peut plus durer.
Demain nous parlerons de choses plus légères avec l'holocauste et l'épidémie de choléra en Angola. A bientôt mes amis!
Mercredi à Chatillon-sur-Chalaronne, dans une ruelle, le soir. Avec des lumières? Avec du son? Avec des loges? Sans Emilie qui préfère regarder la nouvelle star... Bref, je sens que ce sera une bonne représentation de Aux armes citoyens, de Calaferte, qui a peut-être dit que "l'art est fait pour fracasser les consciences", moi je préfère quand il dit "tarataton, faites chauffer l'bouillon", mais bon, ça, qui peut me comprendre?
21 mai 2006
20 mai 2006
19 mai 2006
Déja, ça commence fort, en haut à gauche, il a marqué jean-marc A et à droite nuit de samedi à dimanche. (je l'imagine donc dans la pénombre, éclairé par une frêle flamme d'une chandelle, c'est beau comme un Rembrandt, mais soudain, la bougie tombe et lui cramme la face).
Je ne vais pas toute la recopier, c'est trop long.
Géraldine, (c'est moi)Sans doute vas-tu trouver très surprenant que je t'écrive une lettre, alors même que nous nous voyons tous les jours(...)(Etonnant, certes, mais, je le souhaite ardemment, pas désagréable!) Bon, une pause pour signaler que déja, vous avez compris que ce mec craint. Alors pourquoi cette lettre, n'est-ce-pas? D'abord et tout simplement, parceque, à l'heure qu'il est, je pense à toi. Parceque-je me connais-à partir de demain et plus gravement encore les jours suivants, dans l'heure qui précedera les représentations je serai sous l'emprise du trac, muet dans le pire des cas, ne dialoguant que machinalement dans le meilleur des cas.(...) Et là, attention attention, en pleine lettre ou il se met à nu devant sa muse: Excuse moi, je suis obligé de changer de couleur et d'encre! ce mec est vraiment un blaireau. Parceque ceci additionné à cela fera que je n'aurai peut-être jamais la disponibilité ni l'occasionde te dire "en direct" cette simple (et apparammen banale) phrase, parceque je m'en voudrais beaucoup alors de ne pas te l'avoir dite puisque je la pense et le ressens: géraldine, tu me plais beaucoup! Et je m'en voudrais d'autant plus que tu me plairas sûrement de plus en plus! Je ne sais pas si il est nécessaire de commenter quoi que se soit...C'est tellement bien écrit, plein d'émotion et de sincerité, je vous avoue qu'encore aujourd'hui, j'en suis toute émoustillée...(...)Phrase qui veut dire sous ma plume (et peut-être un jour dans ma bouche ?!)te concernant , le bien-être de savoir que tu es là(...) Qui veut dire aussi que je suis mieux (je ne parle pas de l'acteur!) quand tu es là (...) après ce passage très romantique où une fois de plus, il ne parle que de lui, voici que ça devient plus physique: Elle veut dire, cette phrase que j'aime croiser ton regard, que , lorsque nos regards se croisent, j'ai envie qu'ils s'échangent, se mélangent. elle veut dire encore que j'ai envie de te serrer dans mes bras, et que tu aies envie que je te serre dans mes bras. mmmhhh, ça fait envie, revenons à du plus soft: Elle dit que je crois à la poésie, voire à la magie de certaines rencontres, souvent d'ailleurs les plus improbables, mes plus inimaginables. Géraldine, tu me plais beaucoup!oui, il le réecrit. Qualifier ma rencontre de poétique me fait un peu le même effet que quand on me demande une recette de cuisine...je sais que c'est du 4°degré...
Voilà ce qu'elle dit cette phrase. (!!!) Surtout, surtout, qu'elle n'occasionne pas la moindre gêne en toi. J'en serais très contrarié, car je ne vois pas au nom de quoi je devrais taire cette émotion là. (je pourrais faire une liste mais bon...)Et puis je ne souhaite t'apporter rien d'autre, si je t'apporte quelque chose, que du bien et du beau. Je t'embrasse.
Voilà mes bons amis, j'éspère que vous n'êtes pas trop décus, il y en a eu une autre après où il se questionnait sur le fait que je ne lui adressait plus la parole...mais je ne sais pas où elle est....
18 mai 2006
big bisou à l'Hermitage
des têtes comme ça, ça devrait être interdit.
De qui se moque-t-on?
La semaine dernière, Julien m'a demandé un conseil en cuisine. J'ai pris ça comme un affront.
Hier, Emilie m'a demandé conseil en littérature.
MAIS POURQUOI VOUS ETES DEVENUS MECHANTS????
bientôt, vous me demanderez si j'ai vu un bon spectacle ou un bon film??? Arrêtez, je vous en prie!!!
A saint pierre de chandieu, on est heureux...
14 mai 2006
Julien et géraldine de Lyon!!! ouaiiis!!!
Julien découvre incrédule que la CEE n'existe plus...
Grace à la RATP, nous voici bientôt dans un bus direction Aubervilliers où nous repérons ce qui n'allait pas tarder à devenir des ennemies. Deux vaches turquoises. Elles aussi se rendaient au studio d'enregistrement.
Julien est dubitatif: cet endroit est désert et tout le monde se rend un block plus loin. Sommes-nous à la bonne place? La réponse était non.
Porcinet-saucisson-orange-coiffure-pourrie-french-manucure-air pincé et son mari dans sa chemise.
Et commence le tournage de la première: spéciale collègues. C'est assez surprenant de voir la quantité d'éléments coupés au montage: les délais de vérification des réponses, et surtout toutes les choses que disent les animateurs (olivier minne et le prestigieux pierre galibert et ses objets insolites) qui sont la plupart du temps cochonnes hi hi hi.
Malheureusement, ils avaient appris il y a peu que l'émission ne reprendrait peut-être pas à la rentrée, on sentait une sorte d'amertume...L'ambiance reste cependant très détendue et sympa, comme elle peut l'être avec 2 heures de retard.
On embraye après sur la deuxième émission: une solo. 6 candidats ont été pré-selectionnés, 6 autres choisis dans le public, mais Julien ne sera pas élu... Nous sortons donc manger une tranche de 4/4 et boire un café froid. Au centre, Sabri, le grand chef qui d'une main de maitre et d'une voix directive, gère ...tout.
Le public en pause
Bon, voici que notre déchéance approche à grands pas. "Citez des grades de l'armée de terre" Facile! On en connait plein, mais entre les exemples cités, ce que disent les autres pendant qu'on réflechit et se concerte, il est très difficile de savoir ce qui a déja été cité. Je crois qu'on a dit caporal, et puis, et puis, après, en éspérant que ce gros oeil opressant nous oublie, julien me glisse "sergent?""ca a déja été dit,non?" , la caméra se tourne vers nous et je sors un magistral "général 3 étoiles" j'ignorais jusqu'alors connaitre ce mot. S'ensuit un des moment les pires de ma vie puiqu'il ont mis 2 minutes à donner la réponses. Un gros oeil noir sur nous, tout le monde rigolant à une anecdote délirante et sans fin d'O.minne. Sauf nous. "attention 3 2 1 ...buzzer"
Voilà, c'est fini, ce n'est pas un grade mais une distinction, contrairement à sergent qui a qualifié ceux après nous puisque ça n'avait pas été cité. AAAAARRRRRRGGGGGGGGHHHHHHHHHH. J'ai une haine contre moi indéscriptible. Nous quittons le plateau dépités, on nous emmène dans une fausse salle au sous sol, éclairée au néon avec de vieux canapés où on visionne le retour plateau. A quel point on aurait été brillant aux tours suivants, même sans anecdote... On revient sur le plateau pour le générique de fin, et comme il n'y a plus de tournage, on peut faire de jolis clichés.
Les restes de festin.
Filip découvre Roger Hanin en caleçon.
Julien a tout donné, il n'en peut plus, même si on se moque de certaines de ses pratiques pour le moins ridicules, il ne bronche pas.
Filip nous a reçu comme des princes. Il y a des gens qui font ceux que vous êtes, Filip en fait partie, je l'aime beaucoup.