Ca sent la craie et les cahiers neufs, les enfants ont eu leurs ongles récurés et coupés, ils ont essayé de se coucher tôt et j'ai moi même taillé les touches de mon clavier, ça pue la rentrée à plein nez. Non, je n'aime pas ça, les gamins étaient culs nus dans le sable il y a pas 2 jours à barboter dans une eau chaude et claire, on était pas séparés par les 12 heures de boulot quotidiennes, on buvait l'apéro tous les jours, on faisait quand on, on bougeait quand on, on jouait tout le temps, alors non, je n'aime pas la rentrée et son putain de réveil et...bref, je voulais juste vous raconter, si tant est que ce soit possible, mes vacances hyper hype.

De nouveau cette année, nous avions opté pour la formule: en vacances en famille pour certains, et en belle famille pour d'autres, et sur ce coup là, je m'en sors pas mal, puisque c'était de ma famille dont il s'agissait.
Photo de groupe. Emotion.



Une fois de plus, Gwën avait fait le forcing pour qu'on aille plutôt se resourcer loin de la folie urbaine. On lui a dit "tu ne changeras donc jamais..." et pour lui faire plaisir, nous sommes partis une semaine à Compaing, hameau de 3 maison de la commune de saint-jacques-des-blats. Super fatigant. On a en fait fait pas mal de choses, dont 8357 parties de pyramide vespérales avec Papa, Maman et Julien, qui ont failli me tuer mais auxquelles j'ai su survivre. Jouer à 1 heure du matin avec Papa qui nous parle de papes éternels...je vous jure qu'il faut croire en la vie. Pendant que nous affolions nos neurones affalés sur des canapés à manger des haribo, Gwën, Didou, et Stef faisaient joujou avec David, qui avait passé les heures précédantes à empiler et désempiler ses boites de jeu, sortir des cartes et des pions, les regarder, les toucher, les ranger avant d'installer une hypothétique partie en émettant des sons type "nionmionnion" en faisant la moue, puis à la ranger puisqu'on lui disait "vire ton bordel, on a besoin de la place" (re-nionmionnion caliméroesque). Ca , c'était juste après les parties de time's up ou d'unanimo, considérés comme des moments forts de reconstitution de groupe et cohésion humaine. Personne n'a trouvé que je mimais le youki de richard gotainer et j'ai donc fait pipi par terre pour rien. shame.
Bref, ça, c'était les soirées, les journées se sont écoulées entre promenades, rien, jeux, enfants, burnout, siestes...
On a bien sur fêter les 4 ans de Nico avec une excellent recette de gateau à l'huile d'olive, Gwën a encore fait le forcing pour que nous prenions le téléphérique, et Papa nous a donc emmené au Plomb du Cantal, gravi en fait par seuls quelques valeureus aventuriers...dont nico!, pas peu fier. Les photos me direz-vous? oui, j'an ai 1000 et des cacahuètes, mais j'ai la flemme des mettre les cd dans l'ordi....wait...
Quelques clichés quand même:

Julien: excellentissime et pertinent maitre mot.

Nico, pas si moche pour un qui n'est pas mon fils.

La vue supra pourrie du gite. En haut du mamelon: nico, stef, grand père et tom en ballade.