Je fais très rarement la sieste. Non pas que je dorme assez, ça, définitivement non, ni que je n'en ai pas envie, non plus, mais la vie ne m'en laisse pas l'opportunité. De plus, il se trouve que la loi de Murphy est mon amie. Voici des exemples vécus de mes dernières fois, j'en tente en moyenne une par trimestre. Une fois: je m'installe, trop beau pour être vrai. Papa me téléphone(chose absolument rarissime) pour me dire: "attention, l'A7 est fermée". Moi non plus, je n'ai su quoi dire. J'ai d'abord pensé à un message codé, une sorte de kangourou qui n'aurait pas d'arête, mais non. c'était à prendre brut.
Tout àl'heure, j'avais prévenu dès11h que je dormirais, mais Didou n'a pu garder cette information pour lui, alors que Morphée me tournait autour: "Eh! Pamela de Dallas, elle a 60 ans". J'aurais pu faire fi, mais la seule cigale de Rhône Alpes était à 25 cm de moi et c'est mise à chanter(juste le temps de la sieste, là, elle ferme sa gueule), Tom s'est mis à crier avec le voisin pour se faire peur, puis à me poser plein de questions à la con.
La première pensée qui me vient dans ces moments, c'est une sorte de "c'est pas juste", et puis une sorte de résignation triste. Et cette question angoissante qui me taraude "dormirais-je un jour?"
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