Je vous parle d'un temps que les moins de... je ne continue pas, au risque de pleurer. Julien avait lancé il y a quelques temps un souffle de nostalgie, du temps qui passe et qui reviendra pas, de l' insouciance et de l'innocence. Bref, je ne m'étend pas trop mais continue dans la même veine avec des images qui nous rappellent à quel point on ne pensait à rien, ni même à notre look, ce qui avec du recul est un peu dommage. Le carbone14 n'a pas réussi à dater ces documents. Ils ont été pris en Italie, dans un parc d'attraction aux dimensions complètement folles et aux attractions non moins audacieuses.
La première photo est prise dans un petit train sur l'eau au décor japonisant qui nous emmenait dans des dédales d'ombrelles où julien aimait se perdre pour des raisons que je tairais.
Pour les pauvres âmes qui n'auraient pas remis: au dernier rang, le papa d'Emilie et le mien, devant ma maman (dont le tissu de la jupe n'est pas sans rappeler celui du pantalon de Julien qui se cache au premier rang...), à ses cotés David, dont le visage méritera plus tard un agrandissement, je vous le promet, et donc au premier rang, Emilie, radieuse dans sa tenue charlotte aux fraises, et moi, qui, je pense, prend une pose un peu à la david hamilton...
Ce deuxième document date du même jour, of course. Il s'agit d'une phot prise dans une "chenille", un gros vers vert qui se promenait à vitesse vertigineuse sur des rails torturées au possible et le décor était magnifique puisqu'il s'agissait de pommes géantes.(cf derrière)Pomme que l'on traversait à un moment. C'était un grand huit vraiment hallucinant.
On découvre avec bonheur Julien, fasciné déja par la mécanique.
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2 commentaires:
Maman va pleurer !
Julien m'a coupé l'herbe sous le pied, mais c'est évident que maman va pleurer, ingrate.
En tous cas, sachez que j'ai toujours ce t-shirt snoopy ("né pour dormir au soleil") quelque part dans mon armoire.
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