gromanche, on fait les gromanches

Nous sommes à Paris jusqu'à 17h, heure du train. Nous tentons le grand chelem à faire palire n'importe quel japonais entraîné. En bon néophites, nous sommes montés au dernier étage de la Tour Eiffel, d'où la vue est un peu impressionnante. J'avous que en ce qui me concerne, ça a pas mal frétillé.

Dans la file d'attente, Où Emilie a failli se battre avec une blondasse aux lunettes mouche, mais qui n'a pu qu'écraser les pieds de sa mère.


Prises du top ef the tower.


Apès cette petite visite, nous avons sauté dans un bateau mouche, j'en avais envie, je le confesse. Et bien c'est très bien une ballade en bateau mouche.
Non contents de ces clichés, nous sommes descendus au pied de NotreDame, célebre construction de Victor Hugo, dixit Emilie. Trop près du Marais pour ne pas faire un crochet. Il s'est vendu pas mal de panoplie de "j'suis gay et je le revendique à mort aves des fringues ridicules et des rires super forts et plein d'autres trucs super nuls mais j'pense que ç fait bien" à Noël, c'était carnaval ,tout le monde l'avait mise. J'ai acheté shabadabada.
Et puis zou, au sacré coeur où nous avons mangé crepe, gaufre et marrons chauds. Il est l'heure de chercher le café d'Amélie Poulain, Emilie avait promis une photo pour sa soeur. Ce fut un peu laborieux, mais réussi eu final.
Début de la course pour choper le train, entre le stress de certaines et la sérénité d'autres, nous nous installames à nos places après avoir tenté d'exproprier une famille.