19 octobre 2008
02 octobre 2008
Un tourbillon de foliiiiiie!
Je ne sais pas trop comment vous racontez ce week-end qui nous a offert encore des situations bien surprenantes.
samedi après-midi, j'ai accompagné émilie faire du shopping, mais elle n'a rien acheté, par contre, moi, trop. Bref.
J'ai tout simplement failli mourir, alors que je ne faisais de mal à personne dans un rayon du monoprix (et pourtant, il y a des gens à qui on peut avoir envie de faire mal là-bas), une chose hystérique à surgit en me bousculant pour attraper un pull, et en hurlant "HAN J'ADORE CETTE COULEEEUUURRRRRRRRRRRRR" et une autre chose hurlante est aussitôt apparue: "HAAAANNNNNNN MOI AUSSIIIIIIIIIIIIII, J'AI UNE TUNIQUE COMME CAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!" Et moi, prise en sandwich, à croire qu'elle pouvait se voir à travers ma boite cranienne...
Voilà.
Impressionant non? Je m'en suis sortie après un petit moment de flottement par un "Euh, oui, non, en fait, pardon..."
Après cette anecdote bouleversante, en voici une autre!!!
Une fois rentrées à trévoux où les enfants gardaient gentiment leur père, tom nous a convié à un concert prévu après le pantagruélique repas.
En fait de concert, il s'agissait plus d'une performance expérimentale.
C'était de la "musique tonique".
Soit. Nous sommes ouverts à toute inovation.
Nous voici tous installés sur le canapé tout neuf et propre, retenant notre souffle.
Donc, très sérieusement, il s'est mis à taper sur l'argenterie et souffler dans le bec de la cafetière en faisant des bruits guturaux.
Emilie cherchait déséspérent la porte de sortie et papa a fait un spasme et a failli mourir.
C'était un fort joli moment.
Après ce moment plein de chaleur, émilie est partie, des souvenirs plein la tête, et nous avons entrepris de nous coucher.samedi après-midi, j'ai accompagné émilie faire du shopping, mais elle n'a rien acheté, par contre, moi, trop. Bref.
J'ai tout simplement failli mourir, alors que je ne faisais de mal à personne dans un rayon du monoprix (et pourtant, il y a des gens à qui on peut avoir envie de faire mal là-bas), une chose hystérique à surgit en me bousculant pour attraper un pull, et en hurlant "HAN J'ADORE CETTE COULEEEUUURRRRRRRRRRRRR" et une autre chose hurlante est aussitôt apparue: "HAAAANNNNNNN MOI AUSSIIIIIIIIIIIIII, J'AI UNE TUNIQUE COMME CAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!" Et moi, prise en sandwich, à croire qu'elle pouvait se voir à travers ma boite cranienne...
Voilà.
Impressionant non? Je m'en suis sortie après un petit moment de flottement par un "Euh, oui, non, en fait, pardon..."
Après cette anecdote bouleversante, en voici une autre!!!
Une fois rentrées à trévoux où les enfants gardaient gentiment leur père, tom nous a convié à un concert prévu après le pantagruélique repas.
En fait de concert, il s'agissait plus d'une performance expérimentale.
C'était de la "musique tonique".
Soit. Nous sommes ouverts à toute inovation.
Nous voici tous installés sur le canapé tout neuf et propre, retenant notre souffle.
Donc, très sérieusement, il s'est mis à taper sur l'argenterie et souffler dans le bec de la cafetière en faisant des bruits guturaux.
Emilie cherchait déséspérent la porte de sortie et papa a fait un spasme et a failli mourir.
C'était un fort joli moment.
Puis, à 1 heure du matin, sans doute trop remué par sa musique conceptuelle, tom a vomi tout son repas sur le canapé tout neuf et propre sur lequel il était installé pour la nuit.
S'en est suivi bien sur une sorte de ménage pour éponger, frotter, laver. Mais la place de tom devait rester à sécher, et il a vomi sur 2 draps et 1 couverture. Donc, une partie de couchette musicale des plus disputée. Il nous a fallu 30 minutes pour trouver une place à chacun avec de quoi se couvrir pour tous.
Voici didou, bien content de son voyage en république soviétique:
Comme nous sommes des gens sensés, nous avons bien sur lavé les draps plein de vomi.
Et en les sortant de la machine: Tout les morceaux renvoyés par l'estomac insatisfait la veille en sont tombés: Un parcours bien peu banal pour des pâtes!
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